Libentum

Commencer son entreprise dans un marché restreint et le conquérir petit à petit dans sa totalité pour ensuite l’étendre, est préférable pour éviter la concurrence et la perte de productivité.

Il ne faut pas à tout prix vouloir faire quelque chose de nouveau. On peut arriver dernier sur le marché et proposer un produit significativement meilleur que ses concurrents (ex : l’opérateur Free et la baisse drastique des prix).

Généralement, l’aspect marketing d’un produit est caché car il est vu comme malsain alors que nous en sommes gouvernés (publicité, internet, prospectus, amis, politiciens,…). En effet, il ne suffit pas de fabriquer le produit, il faut aussi savoir le vendre à travers des canaux de distribution adaptés (publicité, marketing viral, presse,…).

Peter Thiel récapitule les 7 questions auxquelles une startup doit répondre pour partir sur de bonnes bases pour atteindre le succès.

Nos croyances en l’avenir sont définies à travers 4 grands types : le pessimiste defini, le pessimiste indefini, l’optimiste défini et l’optimiste indéfini. Cette dernière catégorie représente la majeure partie de nos sociétés (à voir en finance, politique, science ou philosophie), alors que les startups, qui rejettent la chance en planifiant, font partie des optimistes définis. Elles ont une vision claire du futur qu’elles tentent de concrétiser.

Les fondateurs sont souvent des personnes hors du commun ayant des traits de caractères singuliers souvent poussés à l’extrême (Elon Musk, Lady Gaga, Sean Parker, Richard Branson,…).

Peter Thiel, spécialiste du capital-risque, base ses investissements sur la loi de puissance 80/20, en se concentrant sur la minorité de startups qui produira bien plus de valeur que la majorité réunie (cf. Founders Fund). Cette loi 80/20, présente partout dans le monde, est essentielle à chacun d’entre nous pour identifier si les actions que nous entreprenons valent réellement la peine ou pas.